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Channel: Les errances d'Amandine
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Les Néréides de Neptune

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Décidément, je suis bluffée par le talent de mes lecteurs! Je vous livre ici un très beau poème écrit par Peter Pan à la gloire de ces légendaires néréides des mers...


Par une après-midi bleu horizon
Nicolas et Noémie s'apprêtent pour le musée
Il ajuste enfin son Noeud papillon
Tandis qu'elle relisse ses blonds cheveux Nattés.

Plus tard, ils musardent, main dans la main,
Quand soudain, ils s'arrêtent, devant un drame ancien
"Les filles de Neptune"

Ces Néréides Merveilleuses
A la Nudité cachée
émergent de l'onde tumultueuse
où elles aiment se mirrer.

Mais Dame Nature est parfois capricieuse
Au loin un Navire en péril sur le point de sombrer
Et les Nymphes de la mer toujours audacieuses
A leur appel dans l'océan aussitôt vont plonger.

Juchées sur le dos des Narvals
Nobles coursiers des mers à la corne Nacrée
Elles tirant du resac les Nageurs infortunés
Puis les déposent sur la grève, sous un ciel sans Nuages...

Plus tard, Nostalgiques de ces rêves passés,
Les hommes Chanteront leur gloire
Ô séduisantes Divinités ....

Les naufragés de nulle-part

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C'était un joli jour de novembre sur Nicobar. Il faisait, comme toujours dans ce petit coin d’Océanie, un temps magnifique, sans un nuage en vue. Pourtant Noé se sentait triste et nostalgique. Sa Normandie natale lui manquait terriblement, ses pâturages, sa côte de Nacre, les petits nougats qu'il dévorait avec délice à tout moment de la journée... Mais rapidement Naëlle, sa belle naïade pour qui il avait tout quitté, revenait à son esprit. Ils s'étaient rencontrés au bord de l'étang aux Nymphéas, à Giverny. Malgré la nuée de touristes qui s'entassaient-là pour tenter de photographier les quelques nénuphars qui résistaient tant bien que mal à un climat peu propice, il n'avait vu qu'elle, sa nymphe, l'amour de sa vie. Quand il avait appris qu'elle habitait dans l'hémisphère austral, il n'avait pas hésité un seul instant à l'y rejoindre. 

Cela faisait maintenant six mois qu'ils vivaient ensemble sur cette petite île paradisiaque. Mais malgré le soleil incessant, la beauté du lagon, Noé s'ennuyait. Il avait l'impression de devenir neurasthénique tant il se sentait enfermé dans cette petite cage dorée. Il aimait Naëlle, profondément. Mais cette petite nymphette avait grandi dans une famille nantie et il était notoire qu'elle n'y avait jamais reçu aucune règle. Vivre avec elle n'était pas toujours le nec-plus-ultra. Elle était souvent capricieuse, parfois même narquoise. Mais elle avait énormément de cœur et chamboulait le sien dès qu'elle lui souriait.

Naëlle avait décidé ce jour-là de prendre la mer à bord du petit navire qu'un neveu de son grand-père lui avait légué.  Elle adorait les sports nautiques, la voile notamment, mais ne connaissait pas grand chose à cette petite navette à moteur. Quand elle fit part de son projet à Noé, celui-ci la mit immédiatement en garde. 
- As tu pensé à vérifier les niveaux ? Il ne s'agirait pas que nous tombions en panne en pleine mer ! 
Mais la petite naïade n'allait nullement renoncer à son projet pour d'infimes détails techniques et répondit avec nonchalance que tout était nickel. A eux l'ivresse de la nature

Ils prirent la mer en début d'après-midi sous un soleil radieux. Après avoir franchit la barrière de corail, l'immensité de l'océan indien s'offrait à eux. 
- Où veux-tu aller ? s'enquit Noé.
- A l'île aux Flamboyants ! On y sera tranquille, il n'y a jamais personne là-bas. 
L'île aux Flamboyants était en réalité un petit îlot au centre duquel régnait une forêt luxuriante parsemée de ces arbres aux fleurs écarlates. Ils mirent donc le cap sur ce petit paradis où ils ancrèrent le bateau moins d'une heure plus tard. La navigation était un art que Noé maîtrisait parfaitement.


Tandis que Naëlle paressait nonchalamment à l'avant du bateau, laissant le soleil teinter sa peau d'une jolie couleur ambrée, Noé l'observait, songeur. Elle avait emporté l'objet de son dernier caprice, « Les nymphéas noirs». Elle voulait ce livre absolument depuis qu'elle en avait lu l'éloge dans je-ne-sais quel magazine, mais arriver à se le procurer dans leur petit coin de paradis s'était avéré un véritable exploit. Depuis, elle l'avait complètement négligé et n'en avait jamais lu une seule page... Il laissa échapper un soupir et lui demanda :
- Tu viens nager avec moi ? 
- Non, j'ai un peu la nausée, je préfère rester ici ! 

A cette remarque, Noé leva les yeux aux ciels et s'aperçut que l'horizon commençait à s'obscurcir. Des nuages noirs s'amoncelaient, signe d'un gros grain à venir. 
- On ferait mieux de se dépêcher de rentrer !
- Oh non, pas déjà, répondit Naëlle qui ne souciait décidément jamais de rien.
Mais plus le temps passait, plus le ciel noircissait. Le vent s'était levé et il commençait à pleuvoir. 
- Tu as raison, rentrons-vite, dit-elle à son nabab.
Mais lorsque celui-ci voulu remettre le moteur en marche, il s'aperçut que le réservoir d'essence était presque vide et qu'il leur serait impossible de rejoindre Nancowry dans ces conditions. 

- Tu n'as pas fait le plein d'essence, demanda-t-il interloqué à sa jolie nymphe qui semblait de plus en plus nerveuse
- Non ! Mais tu ne m'a jamais dit qu'il fallait le faire ! 
- Tu te fiches de moi, nigaude ?
Mais il avait plus urgent à faire que laisser libre cours à sa colère. 
- Viens, on va s'abriter dans la forêt le temps que l'orage passe.

Il la prit par la main et ils rejoignirent en toute hâte l'abris du sous-bois. 
- Maintenant, arrête de me narguer et explique moi pourquoi tu n'as pas vérifier le niveau du réservoir d'essence! 
Elle ne répondit pas.
- Te rends tu compte de la situation dans laquelle nous place ta négligence?, rajouta-t-il en tirant sa natte en arrière pour qu'elle le regarde dans les yeux. 
- Jamais nous ne pourrons rentrer à la maison! 
- Mais j'ai faim, nous devons rentrer!, répondit-elle affolée.
- Tu ne trouveras rien à manger ici, ni noix, ni noisette, ni nèfle, rien!

La nuque de Naëlle commençait à trembler et des larmes mouillaient ses yeux, mais Noé n'en avait que faire. Il était furieux. Il était temps qu'il mette un terme à ce comportement narcissique et si néfaste qui la caractérisait. Naguère, il s'en accommodait, mais en souffrait néanmoins. A présent, il ne voulait plus vivre dans cet environnement nébuleux ou aucune nécessité ne comptait si ce n'est celle de son nombril. Il ne se comporterait plus niaisement avec elle, n'accepterait plus de négocier ses moindres caprices et ne supporterait plus ses crises de nerfs.  Il l'aimait, mais il était nécessaire de nettoyer tout ce qui était nocif pour que leur amour retrouve sa noblesse et que cesse ces non-sens qui le rendaient quantité négligeable. Même s'il était normalement un fervent défenseur de la non-violence, il était navré de reconnaître qu'il s'était fourvoyé. Cette demoiselle avait notablement besoin d'autorité et il le lui notifia sans nuance.  

-  Il n'est plus question que je laisse passer la moindre de tes négligences et tu vas être sévèrement punie pour celle-là !

Il tourna les talons et alla cueillir une branche qui, même si elle n'était pas de noisetier, lui semblait avoir la souplesse nécessaire au dessein qu'il avait en tête. Quand elle le vit revenir, l'instrument en main, l'estomac de Naëlle se noua

- Déshabille toi! Je te veux complètement nue!  

Elle obéit sans chercher, nià nier sa faute, ni à s'opposer à ses conséquences. Elle ne réalisait pas vraiment ce qui allait se passer et ce n'est qu'au moment où la badine se mit à dessiner des nervures écarlates sur la peau de ses fesses qu'elle réalisa que plus jamais elle ne pourrait jouer les Narcisses. Noé ne négligea aucune parcelle et ce n'est que lorsque les fesses nacrées de sa belle ressemblèrent à un nèfle trop mûr qu'il mit fin au châtiment. 

Naëlle, en pleurs, vint se nicher dans les bras qu'il lui tendait et y resta blottie jusqu'à la nuit tombée. L'orage était passé mais la température de l'air avait chuté et elle grelottait. 

- Viens, je vais faire un feu sur la plage! Ça te réchauffera. Et puis, qui sait, peut-être qu'un bateau passant au large nous remarquera? 

Naëlle ne répondit pas. Mais quand elle vit le feu rougeoyer, elle réalisa la force de son amour pour celui qui savait, au fond, si bien enflammer les choses... 



De L'Or et de L'O

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Voici un magnifique poème que nous offre Inna pour ouvrir la voie à cette lettre ô combien emblématique...  Merci infiniment, douce Inna, de ce si joli cadeau !  


Outragée de ses Oses, elle s’Offre Ombrée
De l’Opium de ses mots, De ses Ondes dans L'O
Dans l’Over-dose Obscure
Orfèvre d’un Opéra, Il Orchestre L’Oméga
Il Osmose , elle Ondule
A l'Ourlet de ses Orifices
Il Officie , elle Oscille 
Elle Obtempère offerte, Ornée de l’Oriflamme
Ouverte en Offrande, l’Orgasme en Obédience
A l’Ondée d’une Orgie
A l’Orée de ses Oui
Il Ocre ses Ovales
D'un O-rage en Onguents
De l Or dans l 'O-séant

Ode à l'Odyssée

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Peter Pan a tenu a célébrer ce divin O d'un petit poème hOmérique...  


                                Depuis son palais de l'Olympe
                                Zeus Observe les hommes
                                Qui de tout le Pays des Héllènes
                                Lui présentent des Oboles.

                                Le rusé Roi d'Ithaque tua l'Ogre à l'Oeil unique
                                Aussitôt, le roi des Dieux s'en trouva Offensé
                                - Infortuné Ulysse, tu paieras cet Outrage !

                                Au dieu Océan fortement courroucé
                                Il Ordonna de déchaîner les Orages.
                                De sa main la foudre fut alors lancée
                                et zébra les cieux jusque là restés sages.

                                Le dieu de la mer souffla aussi sur les flots
                                et libéra de gigantesques Ouragans
                                qui renversent les bateaux.

                                L'Ombre de sa colère plongea les hommes dans la nuit
                                - Ces arrogants mortels me doivent Obéissance !
                                Comment Osent-ils me lancer un défi ?

                                Héphaïstos, l'Orfèvre des Divinités
                                Sur les Ordres de son maitre avait façonné
                                le phénix, un Oiseau fabuleux.

                                Et les hommes, de leurs bienfaits,
                                sont souvent Oublieux.
                                Mais surnommèrent, les siècles passés,
                                cette voyage merveilleux :
                                l'incroyable Odyssée !!!


Offense Orgasmique

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L'Orfèvre de ce blog Offre ici un fabuleux Ornement. Encore un merveilleux texte et une véritable prouesse littéraire de Gabriel, dont le talent mérite toutes les Ovations ! 


Oisive et Optimiste, Ophéline Omettait Objectivement d'être Obéissante, Occultait ses Obligations pour d'Obsolètes Occupations et Outrepassait ce que son Officiel lui Octroyait. Ce jour d'Octobre, Owen Ordonna à l'Oiselle une punition Originale et Osée pour l'Occasion, mais l'Odieuse Objecta et Occasionna par son Outrecuidance que l'Omniscient s'Offusque. 

L'Ombrageuse Obéit finalement aux Ordres et Obtempéra à l'Obligatoire Obole d'une fessée. 

Omnipotent, Owen Ôta Orageusement la culotte Opaque de l'Obstinée, Obstacle à son Office, Oubliant les Objections Ordurières d'Ophéline Opiniâtrement Opposée à l'Opération. 
L'Œil de l'Oratrice s'Obscurcit alors plus que d'Ordinaire dans son Orbite.

L'Officier s'Offrit une Œillade Oblique sur les Opulentes Ogives Opalines Obligeamment Offertes de l'Ogresse, Outrageusement Ouvertes jusqu'à son Orifice Originel. Ce dernier était Ostensiblement Obstrué par un Obélisque Oblong et Ouvragé, surmonté d'un Oeuf d'Or Ovale Ondulant sur la petite Olive du mont Olympe de l’Orgueilleuse.

- "Oh! Alors, On Opte pour l'Orgasme Onaniste Occasionnel, petite Obsédée ?" Opina l'Opportun moqueur, Observant l'Objet et comprenant l'Opposition Obtuse au déculottage d'Ophéline. Les Organes Oppressés par l'Ombre de la Honte Orchestrée par l'Ours, L'Opprimée n'Osa plus l'Ouvrir. 

L'Offensé se mit alors à l'Ouvrage : tel un Orfèvre, il Orienta le cul de son Otage et Oublia sur l'Oasis aux Odeurs Océanes de l'Outragée l'Ornement Ostentatoire, trop Occupé à Œuvrer avec Organisation. Il Occit alors à Outrance et jusqu'à l'Ocre tantôt l'Orient tantôt l'Occident.

Fleur d'O., Ophéline Ondoyait Onctueusement, jusqu'à l'Obtention d'un point d'Orgue : l'Ouragan de l'Officiant mêlé aux Oscillations Orgiaques de l'Outil Obscène Occasionnèrent l'explosion d'un Onirique Orgasme Opiacé.

L'Opium de l'Ombrageuse

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Obéissance : phénomène biologique que l'on observe généralement après un violent orage dans lequel ont pu être enregistrés de nombreux coups de foudre. Le phénomène d'obéissance se caractérise par une chaleur vive mais très localisée, permettant au sujet atteint, ainsi qu'à tout son entourage, d'atteindre un état de profonde quiétude.

Ouille ! : incantation accompagnant toute action de protection afin d'en augmenter l'efficacité. Certaines écoles d'espièglerie préfèrent enseigner le Aie ! mais d'après une récente étude menée par l'inspection académique des spankers, cette incantation-là serait, tout de même, beaucoup moins efficace.

Oust ! : Sort de contre-protection, particulièrement lâche et indigne d'un maître spanker quand il s'adresse aux mains de la pauvre ingénue qui gît sur ses genoux.

Opportuniste : spanker ordonnant à une orgueilleuse d'obéir et d'obtempérer sans obstruction, tout en faisant la sourde oreille à ses objections. Attitude odieuse à laquelle s'oppose ostensiblement et avec obstination la rédactrice du présent dictionnaire qui s'offusque que tels outrages soient  encore occasionnellement observés.

Ortie : arme fatale des fesseurs manchots, qui conduit leurs victimes à pousseur des cris d'orfraie comme si elle s'étaient assises sur des oursins. 

Ordonner : offrir en toute obligeance, mais avec opiniâtreté, une jolie fessée à sa bien-aimée. :-)

Patati et Patata

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Pagaie : paddle des malheureuses.

Paille : petite tige creuse utilisée lors d'un tirage au sort et permettant à la spankee de toujours gagner une fessée, vu qu'elle est toujours la seule à la tirer. Certains insinuent à ce propos que les spankers sont de gros tricheurs mais, à ma connaissance, rien n'a jamais permis d'étayer une telle assertion. 

Paradoxe : chérie, tu es adorable mais tu mérites vraiment une grosse fessée ! 

Parcheminé : se dit d'un martinet que l'on reçoit en cadeau le jour de Noël.

Parole : expression de la pensée qui, chez une spankee, est toujours si légère qu'elle tend très facilement à s'envoler. Les spankers, excédés par toutes ces paroles en l'air, envisagent parfois d'utiliser un porte-parole. Mais dès lors qu'une spankee prononce une parole malheureuse, on lui reproche de l'avoir tenue... Comment voulez-vous qu'on s'y retrouve ?

Partouze : tournoi de pénis particulièrement médiatisé sur France 2 en ce moment et dont Roland est le plus emblématique des membres bienfaiteurs, bien que de mauvaises langues le prétendent plus souvent présent à la pinacothèque de la Madeleine, insinuation que cette dernière se serait empressée de démentir.

Passoire : ustensile domestique permettant d'échapper à la fessée. 
- Je te préviens, tu vas recevoir une fessée ce soir !
- Au non, chéri, passoire, suis patraque !

Prudence : cousine germaine de Paresse, mais qu'il est toujours préférable de présenter comme mère de Sûreté pour éviter les embrouilles. 

Potache : humour de mauvais goût laissant croire à une spankee alsacienne que l'on va lui offrir à dîner avant de la fesser. Pffff!


Presque le Paradis

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Peter Pan nous Parle avec Poésie d'un Par-delà Paradisiaque...


                            Près d'un petit Pavillon, Perché,
                            proche d'une Petite Plage
                            à l'orée d'une forêt de Palmiers
                            derrière une longue Palissade
                            de Paresseux Pélicans se Prélassaient
                            occupés à lisser leurs Précieux Plumages
                            la Panse saturée de Poissons fraîchement Pêchés.

                            Plus haut dans les Palétuviers
                            bavardent Perruches et Perroquets
                            loin au large Plongent des Pluviers
                            aux Parages des Plateformes Pétrolières.
                            Quelle Pollution ! Pensent ils. Ils empestent l'air !

                            Dans les Profondeurs s'agitent des Poissons colorés
                            parmi eux rôdent des Piranhas affamés
                            des Poulpes visqueux dorment au fond des grottes
                            entre deux eaux évoluent d'élégantes Pastenagues
                            parties en quête de leur Pitance quotidienne
                            Sur le fond de craintifs Pagures courent sur le sable
                            espérant échapper à leurs Prédateurs implacables.

                            Deux Partenaires amoureux et Passionnés
                            la belle Patricia et le ténébreux Pablo
                            partagent un Paso-Doble endiablé
                            sur l'éclatant Parquet du Patio
                            au son des rythmes chaloupés
                            sur un vieux Pick-up surgi du Passé.
                            Ah quel beau Tango !
                            mêlant leurs Pas en mouvements chavirés.

                            Au Potager poussent d'odorantes Plantes
                            Persil, Poires, Pommes, Poivre vert
                            Potiron et Pastèque et Piment.
                            L'air du matin embaume le Patchouli
                            Ne serait ce pas cela au fond le secret d'une belle vie ?


Plongeon dans la Pénombre Pourpre de la Plénitude

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Plus qu'une Prouesse, un Poème Palpitant pour nous Permettre de Partager sa Passion du jeu de Paume... Nous avons le Privilège de Profiter une fois de Plus de tout le Prestige de la Plume de Gabriel, qui est sans Polémique Possible, le Plus Percutant des Princes.



     
     Par trop de fatigue et de nuits caféinées, loin de toi, les émotions embrumées, 
     J'ai confondu, emmêlés, les temps de ta première fessée, merveilleux souvenir,
     Opposant au passé de nos horribles disputes le présent de notre complicité,
     Le regard tourné, déterminé, vers tous les plaisirs secrets à venir....

                                              ღ 

     Parachutée là, tu Piaillais à Pleins Poumons comme un Piaf Paniqué,
     Perdue sur ma Planète, tu Pillais ma Patrie et Piétinais mon Paysage.
     Pantin Pendu Par les Pieds, Pauvre Pion de tes Plaintes Permanentes,
     Chaque Peccadille Pacotille devenait Pagaille, Je n'en Pouvais Plus, Pathétique
     Poésie d'une Pluie de Printemps dans l'attente Patiente de Perfection...
     Mes Projections Psychotropes seraient-elles Pédagogie Pour te Ployer 
     et Présider ta Psyché Personnelle vers une Parfaite Plénitude ? 

     Alors, Passe un Peu Par "ici" ma Petite Poupée Pâle et Pantelante !
     Viens Penaude te Prosterner et Prendre Part à ta Première Pénitence.
     Au Paradoxe de te Punir Pour te Protéger de tes Peurs, de tes Phobies,
     et te faire Payer le Prix de tes Pointes du Passé, tu Pries mon Pardon.
     Punie au Plus Pur Paddle, Palpant, Piquant ton Pulpeux Popotin de Porcelaine,
     Un Pépin Pour tes Pommes Potelées, sans Pitié Pour ta Pudeur, tu es Piégée
     Par les Papillons du Plaisir Palpitant au Panthéon de ton Purgatoire.

     Permise Proximité, tu viendras un Peu Plus près ma Pépite, ma Perle de Polynésie. 
     Pardonnée, sur ma Poitrine, Paisible Palais, tu Pourras te Pelotonner ma Princesse,
     Tu Pourras te Planquer et Provoquer tes Pleurs, Pour Panser ta Perceptible Peine.
     Pacifiée, Poindra ta Perfide Prière Païenne : "Partageons notre Passion du Péché",
     Parfum de Perversité, Plus de Princesse, Place à la Provocante Putain Possédée.
     Puissant, je Prendrais Prodigieusement Possession de ton Plantureux Postérieur,
     Au Privilège de Partager la Profonde Peinture Panachée de sa Peau Parcheminée.


Parce ce qu'ils s'aiment

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Parce que le Q me fait peur (mais comment cela se fesse, se demandent mes lecteurs interloQués), je reste encore un peu sur le P... 


Parce qu'elle ne pouvait prétendre que ses péchés n'étaient que peccadille.
Parce qu'elle aimait se pavaner, pavoiser et pérorer péremptoirement
Parce que ses perpétuelles pirouettesétaient passablement pénibles.
Parce qu'il n'avait plus de pitié, ni pour sa paresse, ni pour ses palabres.
Parce qu'elle la pommade qu'elle lui passait ne pardonnait pas ses pitoyables pitreries.
Parce qu'elle avait mis tant de pagaille dans la paperasse qu'il fallait bien qu'elle le paie.
Parce qu'elle préférait se pomponner plutôt que de penser à la ponctualité.
Parce qu'elle pontifiait sans cesse afin de polariser sur elle toute l'attention.
Parce  que leur ping-pong verbal était pitoyablement pathétique.
Parce qu'elle faisait toujours mine de pleurnicher mais jamais elle ne pleurait .
Parce qu'elle n'était pas à prendre avec des pincettes et l'envoyait paître.
Parce qu'ils avaient conclu un pacte et que sa patience avait des limites
Parce qu'il le lui avait promis plusieurs fois et qu'il ne plaisantait pas
Parce qu'il était prince et qu'elle était princesse.
Parce que leur amour était un palais qu'il est primordial de protéger.
Parce que cette pimbêche, il l'avait mise sur un piedestal.
Parce qu'elle était parfaite et ne serait jamais pour lui une passade.
Parce qu'il adorait par-dessus tout la voir rougir comme une pivoine.

Pour que penaude, elle panique et que son cœur palpite
Pour que perplexe, elle ploie sur les plis de son pantalon.
Pour que de sa paume, il peigne de pourpre son pulpeux postérieur.
Pour que ses papillons prennent leur envol vers le paradis perdu.
Pour qu'elle se pâme de plaisir sous son regard perçant.
Pour qu'elle vienne enfin se pelotonner contre sa poitrine.
Pour que d'un baiser il puisse tout lui pardonner,

Et de son pieu puissant enfin la pénétrer.

Quérine en Questions

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Quérine est très belle et elle le sait.
Quérine est très fière et ça c'est Quentin qui le sait.
Quérine aime être fessée, mais jamais elle ne voudra l'avouer,
parce que Quérine est très fière, ça je vous l'ai déjà dit...
Quand Quérine a envie d'une fessée, Quentin le voit tout de suite.


Mais pourquoi pleure-t-elle quand il prend les choses en main ?


Un petit tour au coin lui fera peut-être du bien ?


Sera-t-elle enfin décidée à avouer humblement ses fautes ?


Recevra-t-elle son châtiment allongée sur les coussins?


ou à califourchon sur le dossier ?


Retournera-t-elle au coin, après ?


Que de questions...
Mais une chose est certaine, Quérine est adorable. Ne trouvez-vous pas ?

Toutes ces illustrations sont l'oeuvre de Claude Gaveau, artiste contemporain que j'affectionne tout particulièrement.

Renversantes Retrouvailles

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Gabriel, Roi des Récits Rouges Rubis, nous Raconte ici les Ravageuses Retrouvailles d'une Rebelle et de son Roméo. Raffiné, Réjouissant, Rafraîchissant, Rocambolesque, Resplendissant, Rassurant... et toujours aussi Remarquablement Ravissant !!! 


Récemment, Romane et Roméo Rêvent de se Revoir. Il se Remémore une Ravissante Rousse, Racée et Rebelle. Elle se Rappelle un Rêveur Robuste et Rassurant. Revigorée, elle appelle le Renégat, sa voix: Rémanence Réellement Rafraîchissante...
- " Rencontrons-nous ?", elle Reteint sa Respiration.
- " Je Raffolerai d'un Rencard! Rejoins-moi au Régiment de la Région de Reims !"
- "Je Rapplique !" Ravie, dès qu'elle Raccroche, elle se Rue sur sa Renault. Une Rhapsodie à la Radio, peu Rigoureuse, elle Rêvasse aux Retrouvailles quand sa Roue Ripe sur le Rebord de la Route. Hélas, Ronce, Racine, Ruade, Rambarde.... Bref, en Rade ! Sa Renault? un Radeau !
- " GRRRRR! Quels Réflexes Reptiliens" se Réprimanda-t-elle!
Mais Réfractaire à Renoncer au Rendez-vous, Réactive, elle Remplace la Roue Rapidement, puis Repart...

Regrettable Retard Répréhensible, à l'arrivée de la Rouquine le Râleur Rouspétait et la Romance sentait le Roussi. Redoutant le Rififi, mais Refusant de Récolter un Râteau, elle Rebondit en Racontant le Raid peu Reluisant de sa Ruine dans la Ravine.
- " Je Réfléchi si Représailles ! " dans un Regard Réprobateur.
- " Référendum ? " Répondit-elle, Redevable.
Pas Revêche pour un Rond, il Ria sans Rancune et se Radoucit. Ils Rentrèrent dans le Relais-Restaurant, Rotonde Raffinée dans une Résidence Retirée. Un Repas pour se Rabibocher. Au Radis : Raccommodage. Au Rôti : Rigolades. Au Raisin : Rapprochement. Au Réglisse : Romantiques baisers. A la fin du Repas, ils se Racolaient Rageusement, Rêvant de se Ravager.
Il Réserva la suite Royale du Relais.

Fini Résistance, Rempart, Raison. Plus de Repère. Un Roi et sa Reine, une Rumba Rampante et sans Retenue de Romane ; à ses Reins, un Rodéo de la Redoutable Raideur de Roméo. Ils Rugirent ensemble dans un Relâchement de Râles Rauques. Tombant à la Renverse, il se Regardèrent, Ruisselants, et Recommencèrent sans le Refouler le même Rituel sans Routine. 
Enfin, Reput, lui se Rallonge, Repos Réaliste, se Retourne puis Roupille Recroquevillé. Rideau ! Mais elle, Rarement Rassasiée, Recherche la Récréative Récidive. Ronronnante et Ricanante, elle vient Racketter le Ronfleur. Pas Réceptif, le Rustre la Rabroua et la Repoussa avec Rudesse. Pas Rebutée par cette Rebuffade, la Rouquine Récalcitrante Réfléchit à une Riposte Rusée pour Raffermir Roméo. La Roublarde Réveilla le Rouspéteur en se Rhabillant dans un Raffut Rare, Risquant le Reproche Réprobateur. 
- "Rendors-toi, moi je Rentre !"

Mais voilà, elle avait trop Relativisé les Répercussions, le Rabat-joie Réagit Rugueusement et Réclamait Réparation. Réaffirmant sa masculine Régence, elle ne Réchapperait pas aux Retentissantes Retombées : Recevoir une Remarquable Raclée Régressive. Rebelle, elle se Retrancha dans une Réponse Revendicative et sans Respect. Mais la Révolte Revigora d'autant le Rebrousse-poilu qui Rajouta une Rallonge à la Révolutionnaire...
Ravisée, la Roulure, Repentante, se Retrouva Recta Recourbée sur les jambes du Régalien, qui Retroussa sa Robe et Retira sa culotte, Révélant sa petite Raie Rose et Remuante. Roméo Rabâchait le Réquisitoire Récapitulatif de ses Reproches. Son Raisonnement Rationnel et Résolu finirent de Résigner Romane qui ne Renâclait plus, se sentant Ridicule ainsi Recadrée.

Roméo Roua les Rondeurs de la Retorse en Rapides Rafales Régulières. Il les Reluquait Rosir et la Receveuse Réclamait sans Répit un Rabais en Ruant et Remuant. Mais le Revanchard Redoubla la Ramée, Répéta son Récital, Raillant la Risible, Rouge de honte. Il la Rossa en Rythme jusqu'à Reddition de la Rombière ainsi Rachetée et Repentante. Il Ralenti puis la Redressa :
- "Sois Reconnaissante, Remercies-moi d'être ainsi Rétribuée !!"
Raisonnable, Romane se Rajusta, se Recoiffa, Reflua ses larmes et se montra Religieusement Révérencieuse. Le Rédempteur Récita une Ribambelle de Règles et Recommandations à Romane qui se Recueillait au coin, Résignée. Il Regarda avec Responsabilité le Résultat de sa Réalisation : le Réceptacle Ressemblait à deux Rubis Reluisants et Réchauffés. 
En Récompense de sa Rémission, Roméo Récupéra dans le Réfrigérateur de quoi Refroidir la Réaction. Après le Recentrage, la Réconfortante Réconciliation. Sans la Retourner, il Rafraîchit la Relative Radiation de Romane qu'il vit Relaxée et Radieuse dans le Reflet du miroir : 
- " Tu Rentre ?"
- " Je Reste..." Répondit-elle, se Réfugiant dans ses bras.

Suave Sacrilège

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Les Saintes-nitouches vont peut-être Se Scandaliser mais quels que Soient leurs Sarcasmes, c'est bien Sans Scrupule, Sans gêne et Sans culotte qu'il convient de Savourer cette Singulière Saynète...
Une Salve d'applaudissements pour le Savoir-faire Sincèrement Sidérant de Gabriel. Subtilement Subversif mais toujours aussi Sensationnel ! :-)


Un Samedi Soir, à la Sortie d'un Sex-Shop Souterrain, un Satyre Se Saisi de la Séduisante Sœur Sabrina et la força à le Sucer. Seule et Souhaitant Sortir de cette Sordide Situation, Sans Solution ni Salut, la Sainte S’exécuta Sobrement et S'appliqua Sincèrement à cette Sinécure. 
- "Salope ! Salope !" SuSSura Singulièrement le Sinistre Sadique, Satisfait de Sentir la Superbe Saliver Sur Son Sexe. Sollicité pas cette Séquence Super Sexy, le Sombre Seigneur Sema par Saccades Ses Spores Séminaux Surannés sur les Seins de Satin de la Suceuse. 

Puis le Saligaud Sacripan Sangla avec Soin l'aSServie. Il Stria Sévèrement les Sublimes feSSes de Sa Soumise en Shibari d'une Strappe Sulfureuse, tout en careSSant Son Soyeux Sexe que Ses Sévices firent Suinter de Sécrétions Salaces. 

Au Sol, cherchant Son Souffle et Souillée du Sperme du Sournois Soldat de Satan, la Suppliciée Se Sentie Soudain Soulevée et Sodomisée Sans Sommation. 
- "La Soie de ce Séant est Sacrément Serrée, Serait-ce une première ?" Siffla le Scélérat Sarcastique.
- "ASSez, un Sursis !" Supplia la dépucelée Sans Succès. "Mais quel Savoureux Stupre, SenSation Synonyme d'un délice Sensel non Simulé !" pensa-t-elle, Surprise.
Suave et Servile, Stimulant Son agreSSeur par de Subtiles SecouSSes du baSSin, la Sibylle Sautait, SurSautait, Subissant la Sauvagerie Soutenue du Salaud et Saillie par le Spéculum du Satyre à l'aSSaut de Son anuS. 

Enfin le Silence Sourd ceSSa, Sectionné par les Sons Suraigus du SoubreSaut jouiSSif Syncopé de la Sublime Sacrée de Sabbat, pas Si Sage ...

Ni Sainte ni Sœur, Sabrina fut Sortie de Son Sommeil par le Soleil. Suante et Soulagée, elle Sût qu'elle S'imagina en Songe cette Saisissante Séance. 
- "La Suite du Sacrilège Surement ce Soir", Souhaita-t-elle Secrètement en Sortant de Son lit...

Le Sacerdoce de la Soumission

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Semelle : plat de résistance des fesseurs britanniques qui, à l'inverse des fesseurs français, préfèrent toujours ce qui est bien cuit.



Sobriquet : idiot bien propre auprès duquel toute gageure est toujours un jeu d'enfant. Le sobriquet ne girouette jamais, ce qui fait que l'on s'en lasse finalement assez rapidement.



Strabisme : propension d'une fesse à dire merde à l'autre. Il semblerait que ce léger défaut puisse être facilement corrigé par la simple application d'une bonne fessée (bien qu'une telle affirmation me semble personnellement un peu louche).



Sourd : fesseur particulièrement rude qui se croie obligé de crier pour réprimander, tandis que son homologue aveugle, lui, braille.


Subliminal : message imperceptible à la conscience amandine ne mérite pas de fessée dissimulé à l'intérieur d'un autre message il ne faut pas la punir afin d'influencer le fesseur à son insu.  


Trémolos et Tremblements

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Elle tressaillit. Tenue au téléphone par un technocrate tenace qui la tarabustait pour obtenir un tête-à-tête et lui exposer ses théories technologiques terriblement ennuyeuses, elle n'avait pas réalisé qu'il était si tard. Cette fois, son beau ténébreux risquait de ne pas transiger ! Allait-elle tâter du tape-tapis comme il l'en avait taquinée tantôt ? Ou tambourinerait-il son derrière de taloches jusqu'à ce que s'y inscrive les traces de son inconséquence? Il ne fallait plus qu'elle traîne !

Dans le tramway, elle commença à se tranquilliser. Quoi qu'il se tramait, ce ne serait pas une tragédie. Son tendre tortionnaire ne risquait pas de la torturer, inutile de se tracasser durant tout le trajet. Ce n'était tout-de-même pas un tort de trop trimer au travail. Quel toupet aurait-il d'être aussi peu tolérant ! Son tempérament tumultueux de tigresse termina de terrasser ses dernières craintes. Elle avait tellement travaillé ce trimestre qu'elle avait dû tacitement transgresser les règles du couvre-feu, certes, mais il devait certainement le comprendre. 

Il faisait grand nuit quand elle arriva à la maison. Tandis qu'elle trifouillait dans son sac pour trouver les clés puis cherchait à tâtons la serrure, il surgit derrière elle, tel un loup sorti de sa tanière et tapi dans l'obscurité pour mieux traquer sa proie. Terrifiée, elle trébucha et manqua de tomber dans les thuyas.

- Tes tares doivent être taxées ! Tu va tanguer sur le traversin, ma belle ! tonna-t-il tout de go. Qu'est-ce que tu trafiquais ?

Elle le savais tatillon et têtu. Mais pourquoi la terrorisait-il ainsi avec cette mise en scène théâtrale? La testait-il ? Elle sentit une tiédeur envahir son visage, elle devait être rouge comme une tomate. Elle voulait le temporiser, torpiller ce tollé, mais, troublée, continuait à se taire. Elle n'était normalement ni timide, ni timorée, mais la trouille faisait tournoyer sa tête et elle ne trouvait rien à rétorquer. Elle tritura, impuissante, le pan de son T-shirt

- Suis-moi dans la chambre ! ajouta-t-il en la toisant d'un terrible regard.

Tremblotante, elle trottina derrière lui en se demandant quels tourments allaient lui être imposés. Une tractation serait-elle encore possible ? Elle toussota pour attirer son attention et qu'il se tourne vers elle.

- Je ne t'ai pas trahi et n'ai pas triché, dit-elle en se tortillant, mal-à-l'aise. Tout-à-l'heure, j'étais vraiment au travail et il m'était totalement impossible de terminer plus tôt sans avoir tout traité

- Pourquoi ne m'as-tu pas téléphoné ? Je t'ai déjà fais un topo sur les risques de prendre le tram aussi tard. Tu t'en souviens ? Sais-tuà quel point je me suis inquiété pour toi ?

Touchée, elle ne sut quoi rétorquer. La tristesse transparaissait à travers les trémolos de sa voix alors qu'elle signait sa reddition :

- Je suis vraiment désolée !

Triomphant, un immense sourire transfigura aussitôt ses traits et il lui tendit une enveloppe turquoise.

- Arrêtes de te turlupiner ! Tiens !

Interloquée, elle ouvrit l'enveloppe et y découvrit deux billets de train.

- Notre TGV part dans deux heures, tâche de te dépêcher de te préparer, le taxi de ne va tarder. J'ai déjà fait nos valises. 

Un tsunami d'émotions la submergea et un torrent de larmes se déversa sur ses joues. Elle avait le tourni. Le sol tanguait dangereusement. Il la rattrapa et la serra fort, tout contre son thorax

- Allons, mon trésor, tu croyais vraiment que j'allais te tanner le cul en te mettant une trempe? Mais ça ne va pas, non ! Tu as vraiment besoin de repos !!! Nous allons passer le wek-end au soleil, rien que toi et moi, comme deux tourtereaux. Tu en as tellement besoin, tu es épuisée... et un tantinet trop émotive, ajouta-t-il en lui tapotant tendrement les fesses.



Universelle Union

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Voici une vidéo très courte, mais si belle que j'espère qu'elle saura vous transporter dans ce si bel univers de la fessée érotique. 



Celle-ci me plait beaucoup aussi, mais se joue davantage dans le registre "punitif".



Si vous aimez ces deux vidéos, vous pourrez en retrouvez tout plein d'autres du même virtuose ici.

Les Vicissitudes de la Vie

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Ils passaient des vacances verdoyantes au milieu des vignes, loin du vacarme et de la violence de la ville. La villa était entourée d'un vaste verger et bordée de champs de vigne. L'océan n'était qu'à quelques minutes en voiture et quand leur prenait l'enVie, il allaient se vautrer sur le sable, vireVolter dans les vagues ou faire un tour de voilier. Une villégiature de rêve, en somme. Parfois ils descendaient à vélo au village pour faire le plein de victuailles mais plus souvent ils verrouillaient la porte pour se liVrer à une valse donc aucune virginité n'aurait pu sortir victorieuse. Voici qu'avec voracité il déVorait sa vulve et avec la même virilité assaillait son vagin d'un vigoureux va-et-vient jusqu'à ce que voluptueusement elle vacille

Mais ce vendredi, leur vaudeville avait tourné au vinaigre. Le voyou était vaillant mais vaniteux. Sa vahiné était valeureuse mais versatile. Il adorait se vanter, elle détestait son verbiage. Sa voix de velours se fit venimeuse et la vaisselle vola. Vindicatif, il voulait vengeance. Virulente, elle ne voulait laisser victoire à ce vaurien et l'incendia vertement

Sans vergogne, il vociféra son verdict. Elle serait fessée avec vigueur jusqu'à ce que véritablement son versant se voile de vermillon. Vexée, elle chercha vainement à y mettre son veto mais il jugeait sa vilenie ni vétille, ni vénielle.

Elle vint donc se placer sur ses genoux et il releva le vichy vaporeux qui recouvrait son verso. Les volées tombèrent à verse. Vlan, vlan, vlan. Elle avait beau vocaliser vivement, il ne voulait rien entendre. 

En vérité, le veinard jouait son va-tout et se délectait de voir la lave sortir du volcan de sa victime. Il avait beau vitupérer contre les variations de son humeur, il adorait boire à la vasque de sa fontaine et son imagination vagua vite vers une variante plus voluptueuse

Mais la vilaine n'était pas encore vaincue et son vandalisme verbal valait bien plus que cela. S'il ne voulait pas que leurs vacances partent à vau-l'eau, il ne devait pas opérer à la va-vite. Avec vigilance, il veilla à ce qu'elle enlèVe tous ses vêtements et la verrouilla dans la véranda où il comptait la laisser végéter un moment. Son visage était en feu mais, vaseuse, vannée, les fesses vermoulues, elle n'eut aucune velléité de s'y opposer. Il se volatilisa mais, à travers les vitres, elle ne tarda pas à le voir vaquer dans la végétation et y couper des verges. Sa vessie se contracta dangereusement et elle eut vaguement enVie de vomir. Ce vicieux ne voyait-il plus en elle sa vestale

Elle se sentait déjà vaincue lorsqu'il vint la rejoindre. 

« Vingt coups !», annonça-t-il vénéneusement.

Vaillamment, elle tendit son versant, toute vanité éVaporée. Le virtuose abattit les verges violemment et à toute vitesse, imprimant des lignes violacées bien visibles. Au vingtième coup, la vahiné vacilla, victime d'un vertige qu'elle ne sut vaincre

« Voilà, c'est fini », murmura-t-il en enlaçant sa valentine à présent si vulnérable

Elle pleura un instant dans ses bras, mais lorsqu'elle vit le flacon de vaseline posé sur la table, son esprit vagabonda vite vers de vils horizons véritablement plus veloutés et toute sa vitalité revint. Viva la vida !

Whaou !

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Voici enfin revenu l'été et ses petites robes légères et virevoltantes. Les femmes y sont toujours infiniment plus jolies. La peau se couvre d'or et les sourires fleurissent...

Mais il arrive parfois que nous ayons une petite appréhension à nous exposer en maillot. Ça ne dure pas bien longtemps, comme toujours c'est juste le premier pas qui coûte. Mais il est vrai que rare sont celles qui correspondent aux critères de beauté véhiculés dans les magasines, à savoir une taille XS, un ventre parfaitement plat, une taille de guêpe et des cuisses toutes fines sans un gramme de cellulite. Alors, il faut se réhabituer à se montrer aux autres, sans en ressentir de complexe.

Rappelons tout-de-même que l'immense majorité de ces filles sublimes que nous voyons dans les magazines ne sont pas réelles. Leurs photos sont (quasiment?) toutes Photoshopées. Mais il n'en demeure pas moins vrai que ces images définissent ce que notre société considère comme la beauté "idéale" et qu'il parait, du coup, tout-à-fait légitime de regretter de ne pas suffisamment s'en approcher.

Et si nous avions tout faux ? C'est exactement ce que j'ai ressenti en découvrant le travail de la photographe américaine Lauren Wade, qui a eu la génial idée d'appliquer à quelques œuvres d'art célèbres le traitement Photoshop que l'on applique systématiquement aux belles des magazines. Le résultat est assez saisissant et prouve de manière objective à quel point une femme voluptueuse est infiniment plus séduisante qu'une femme XS. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi j'en suis à présent absolument convaincue !  :-)








GoT

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Comme nous avons l'été le plus pluvieux depuis bien des lustres, me voilà réduite à regarder le petit écran. Quelle pitié !

Les plus sadiques d'entre vous arborent déjà un petit sourire sardonique en m'imaginant devant les pitreries d'Arthur, mais non.  Cet été, je me suis évadée dans la contrée lointaine de Westeros, au côté du ténébreux John Snow, du sulfureux Jaime Lannister et de son charmant frère Tyrion...

Que vous dire de Game of Thrones, si ce n'est que l'histoire est passionnante, que les images sont magnifiques, que le jeu des acteurs est époustouflant, que si vous êtes un homme hétéro normalement constitué vous ne devriez pas pouvoir vous décoller de l'écran et que si vous êtes une femme au cœur à l'estomac sensible, mieux vaut vous munir de votre ipad pour suivre ces sanglantes aventures.

C'est donc en faisant exploser des bonbons que j'ai suivi les trois premières saisons de la série, ce qui ne m'a pas empêché de m'étonner devant la beauté du casting. David Benioff et Daniel Weiss auraient-ils une fascination particulière pour cette partie de notre anatomie qui nous occupe tant ici? A en juger par le choix des actrices et des cadrages, on serait réellement en droit de se poser la question.





Mais ce n'est qu'au quatrième épisode de la saison 2 (Gaden of bones), que nous en obtenons enfin la confirmation, avec cette scène de fessée interprétée par la belle Masie Dee, actrice vedette de Sound Punishment. Le roi psychopathe Joffrey (dont j'attends désespérément que quelqu'un se décide à lui trancher la tête... peut-être en saison 4?) se voit offrir les faveurs de deux prostituées. Au lieu d'en jouir comme tout homme le ferait, ce petit salopard décide de forcer l'une à massacrer le cul de l'autre. J'ai coupé volontairement la scène pour n'en montrer que la plus jolie partie...


Masie Dee tient un blog où elle donne quelques explications sur sa participation à GoT. Elle explique notamment que le tournage de cette scène a pris une journée entière (!). Mais rassurez-vous pour elle et surtout pour ses fesses, la ceinture utilisée était en réalité "douce" et les marques que l'on peut observer sur son postérieur n'étaient que maquillage. Elle a d'ailleurs dû expliquer elle-même à la maquilleuse comment procéder, cette dernière n'étant pas particulièrement familière de ces effets très spéciaux.

A noter que l'on peut trouver sur le blog de kajiraGame des images de scènes de fessées prétendument coupées lors du montage de la série. Les images sont plus ou moins réussies, mais c'est assez amusant pour qui a suivi l'histoire. Mes préférées sont bien sûr celles de Daenerys (jouée dans la série par la superbe Emilia Clarke) et de son très viril époux, Khal.




Fleurs d'été

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Quand on écrit un blog, on espère toujours trouver les meilleurs illustrations. Celles qui collent parfaitement au texte que nous avons en tête, celles qui sauront créer chez nos lecteurs les émotions que nous aimerions tant partager avec eux. Parfois on trouve, parfois pas. Parfois on est heureux, parfois non.

Alors pour tous les gourmands, 
quelle que soit leurs formes, 
crème au beurre ou glaçage au sucre

 

la seule chose qui importe vraiment, 
c'est de partager des émotions.


Et pour tous ceux qui plissent le nez
devant ces illustrations maladroites,
qui se disent qu'il serait grand temps
que tout cela se termine 
parce que se répéter encore
 n'a vraiment plus grand sens

J’vous ai apporté des bonbons
Parce que les fleurs, c´est périssable
Puis les bonbons, c´est tellement bon
Bien que les fleurs soient plus présentables
Surtout, quand elles sont en boutons
Mais, j’vous ai apporté des bonbons


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